Pendant les mêmes ouacances Catalanes que pour le
Vertige à Monserrat, nous avions convenu avec François d'aller nous promener dans le détroit de l'Elbe.
Donc debout à 6:30
, nous nous sommes dirigés vers ce fameux détroit, courageux mais pas téméraires, nous nous sommes arrêtés dans un café... local, je pense que c'est la première fois qu'il voyaient des touristes
.
Nous n'avions apparemment pas pris le chemin théorique des touristes
français. Donc dans ce café où le Castillan était à peine compris, nous avons bu notre café/clope (enfin pour François car en ce qui me concerne j'étais déjà parfait
- j'ai arrêté au siècle dernier), payé en Pesettes
, puis repris la Clio de course (oui celle de
Coco) afin de nous diriger vers le détroit de l'Elbe (c'était quand même le but de la manip').
Arrivés au milieu de roseaux, nous nous sommes promenés
à pied accompagnés d'une espèce de petite ragougne style milou en moins propre. Nous avons pu profiter de cet instant de nature rien qu'à nous. Je pense
que ce moment est unique dans tous mes souvenirs avec François : une banale balade à pied, juste pour prendre l'air !
Après une bonne balade à vous faire cracher 12 Craven A, et je l'avoue une bonne série de Claps, Pif et autres Slam (oui c'est un peu humide et même à 8 heures du mat', les mosquitos catalans sont nombreux et bien proportionnés), nous avons abandonné le brave chien à son sort et repris notre rôle de touristes
bienveillants.